► Desciption ◄

Personne ne vous dira le contraire, Maria est loin d’être laide. Elle possède une fine silhouette et détient une prestance rare, bien que légèrement maladroite. La jeune fille est de taille moyenne allant dans le mètre soixante-dix. À cela s’ajoute un poids plume de quarante-huit kilos. Ses jambes, sont aussi fines que sa taille et la demoiselle n’hésite pas à les mettre en valeur. Bien entendu, malgré ses airs frêles et candides, ne vous fiez pas aux apparences. Un coup de pied, bien placé et vite arrivé messieurs. Nous passerons le sujet de ses mensurations, quoi que cela puisse en intéressé plus d’un. Tout ce qu’il vous est autorisé à savoir est qu’elle est dotée de formes, des plus convenables. Finissons par son épiderme, aussi blanc que neige, bien que légèrement bronzé, quand le soleil pointe le bout de son nez. Sans oublier que notre charmante Demoiselle (enfin ça dépend pour qui) dégage une douce odeur sucrée.

Passons à sa longe chevelure, ordinaire, soit dit en passant. Dotés d’une chevelure blonde, les railleries aberrantes au sujet de cette dernière ont longtemps fusées, si bien que miss Davidson a failli se les teindrent en noir, mais là n’est pas la question. Donc oui, la demoiselle possède des cheveux d’un blond vénitien variant parfois au blond platine. De nombreuses femmes rêves d’une chevelure lisses, pas Maria. Elle aime sa petite tignasse désordonnée. Ni lisses, ni bouclée, mais quelque peu ondulée. Habituellement, cette chevelure reste telle qu’elle est, jamais, elle n’est attachée ou autre. Maria offre seulement à ses cheveux quelques petites parures, barrettes, bandeaux, nœuds etc.
Quand l’on y pense, si la Miss Davidson prenez vraiment soin de ses cheveux, elle pourrait sans doute rendre jalouse plus d’une. Mais non, elle se contente d’un bref coiffage le matin. Tant pis.

Donc, le visage, hm. Son visage est plutôt commun. De part et d'autres de sa tête, elle a des oreilles. Incroyable, non? Bref, trêve de plaisanterie. De grands yeux bleus azurés ornent son visage, ils montrent un esprit excentrique et beaucoup trop rêveur. Sans oublier distrait, souvent pour un rien, précisons-le. Le reste, est tout aussi banal, bien qu'adorable et féminin. Un petit nez légèrement relevé, mais droit. Des lèvres rosées, bien dessinées et peu charnues. Miss Davidson a aussi des pommettes peu marquées, qui ne rougissent pas facilement. Puis pour finir un menton légèrement pointu. Globalement, elle est plus qu’appréciable a regardé. Néanmoins, ses sourires ingénus, sont parfois exubérants.

Passons aux détails, que dire . Ah oui, notre chère Maria est une fana du shopping. Son sens de la mode très pointu, est tout de même excentrique. La miss aime se démarquer des autres et ce par des tenues colorées. Elle est sûrement une des seules personnes à oser porter ce que les autres filles ne mettront jamais.
T-shirt fluo, jeans à carreaux, salopettes, robes à froufrous, etc. Vous aurez compris, dans les couloirs elle ne passera pas inaperçue. Je vous laisse imaginer l’ampleur de sa garde-robe…
Maria à, néanmoins, un faible des tenues courtes, aux étoffes légères et pas trop serrée. Tant que ça reste coloré et gaie elle ne se plaindra pas. Ou presque. La jeune sorcière a aussi un grand faible pour les bijoux. Comme toute femme qui se respecte, elle porte des tas de bracelets qui font du bruit, et des boucles d’oreilles, dépareillées la plupart du temps.



Maria est certes jolie physiquement, mais caractériellement, c’est une autre histoire. Elle représente assez bien les earthly, généralement. Mais il faut dire, qu’elle est loin d’apporter sérénité et repos.
Pour une raison qui nous échappe, la demoiselle a la sale manie de ne répondre qu’une fois sur deux à la question posée. Sans doute, car trop distraite part tout et n’importe quoi, surtout n’importe quoi, elle n’aura pas entendu votre première question. Pas qu’elle soit idiote, bien que le doute puisse parfois s’imposer. Blonde, mais pas conne, hein. Ne pas tous mélangeaient.
Cependant, il faut croire qu’elle aime faire tourner en bourrique ses interlocuteurs. La plupart du temps, elle vous donnera des réponses nébuleuses. Elle est aussi maître dans le domaine de foutre des vents monumentaux. Mais le pire, doit être ce sourire scotché aux lèvres quand elle fait ça. Dieu sait combien ont voulu lui mettre des claques dans ces moments-là.
Outre cela, sa bonne humeur et son optimiste sont deux qualités notables. Jamais ils ne dépériront, même dans les pires situations, ils resteront avec elle. Cependant, comme tous, la jeune fille pleure et est mélancolique, triste voire rageuse. Mais ça, elle ne le montrera jamais en compagnie de quelqu’un. Pas qu’il est hors de question qu’elle montre ses faiblesses. Non, mais elle préfère offrir de la joie et de la gaieté plutôt qu’une infime tristesse. Même les jours les plus gris deviendront avec elle les plus colorées. Eh oui, Maria et ce genre de fille qui d’une certaine manière, rêve d’un monde rose. Bien qu’elle sache que c'est vain. Sous ses airs « écervelés » elle est bien plus pied terre à terre qu’elle ne laisse le paraître.

Tiens, parlons d’une chose. Maria est une personne très, mais alors là, très bavarde. Même le moine le plus endurci pourrait perdre patience. La sorcière a tendance, dans ses sujets de passer du coq à l’âne. Et à force, ses camarades ont adopté la technique du hochement tète. Technique qui consiste à hocher à tout ce qu’elle dit, histoire de dire qu’on l’écoute. Mais il faut les comprendrent. Miss Davidson parle pour du vent les trois quarts du temps. À force cela a tendance à gonfler. Même elle est surprise qu’on ne l’ait pas encore remballé sèchement. Enfin, ça sa ne saurait tarder, si je puis me permettre.

Ah, il faut être claire sur un point. Elle est une catastrophe naturelle. Une empotée de première. Capable se prendre les pieds dans ses propres pieds et s'étaler lamentablement. Faire tomber constamment la vaisselle. Oublier d’éteindre le lavabo, la lumière. Casser, sans faire exprès des objets de grande valeur. À ce jeu-là elle est Reine. Pourtant, elle ne le fait pas exprès. On est maladroite ou on l’est pas. Elle l’est. Mademoiselle essaye de faire des efforts, mais en vain. Trop tête en l’air.
Mais au final c’est comme ça qu’on l’apprécie.

Miss Davidson reste aussi une personne chaleureuse et sympathique. Une fille avec qui on aimerait bien être amie. Mais la facette excentrique de sa personnalité repousse. Au final elle n’est pas bien populaire auprès des autres. Le vit elle bien ou mal? Bof. Quand les cours sont terminés et que l’on n’a personne avec qui parler, c’est loin d’être super. Elle fait avec.
Maria restera toujours une fille assez gentille, qui n’hésitera pas une seconde à vous aborder comme si vous étiez les meilleurs amis du monde, bien que vous soyez un ou une inconnue. Toujours à l’écoute, enfin pas trop non plus, elle sera digne de confiance qui que vous soyez. Un peu étrange sur les bords, si vous êtes patient vous vous habituerez vite à elle et son caractère.

Finissons par le sérieux. Mot qui à première vu n’existe pas dans son vocabulaire. Au fond elle l’est. C’est juste que l’occasion ne s’est jamais présenté pour qu’elle le fasse savoir. Et quand bien même celle-ci se présente Maria ne la saisira pas. Elle préfèrera rester elle-même. La fille blonde, un peu idiote sur les bords. Et à vrai dire, ce n’est pas vraiment mal.


Un peu, beaucoup, gauche, pipelette, exaspérante, naïve et optimiste. Si elle n’avait pas ces défauts ou qualités ça ne serait plus Maria Davidson et ça ce serait vraiment dommage, non?

► Artefact ◄

L'artefact de Maria est un bracelet en or. Bracelet qu'elle garde toujours avec elle. Il lui a été offert par sa grand-mère qu'elle aime tant. Sa valeur sentimental est sans égal. Et même le plus gros diamant au monde ne pourrait-être échanger contre ce bracelet.

► Un Résumé ◄

Maria est née un 21 juin. Jour, qui sonne la venue de l’été. Comme tous elle a une histoire, pas bien passionnante, comme ça l’est dans les romans et films, mais une histoire quand même. Son histoire, celle de la fille de « l’été », comme le dit si bien sa famille.

C’est dans les quartiers de Londres qu’elle grandit. Elle ne faisait pas partie d’une classe « aisée » ni même « pauvre », non elle était le juste milieu. Son père était agent immobilier, sa mère infirmière. Rien de fabuleux. Néanmoins, ils avaient tous deux des journées chargeaient. Bien trop pour s’occuper d’un petit bambin d’à peine un an. C’était à se demander comment ils avaient réussi à concevoir un bébé, vu leur emploie du temps. Ils laissèrent donc la petite aux mains bienveillantes de la grand-mère. Une vieille femme douce et attentionnée, auprès de sa petite fille. Cette dernière adorée elle aussi sa mamie. Maria la considérait; elle, comme une vraie mère. Toujours à câliner et amuser sa petite fille.

Le soir quand les parents rentraient, c’est à peine s'ils voyaient leur fille. Seul un bref baisé sur le front était accordé. Après quoi, ils partaient dormir. Et cela c’était tous les jours. La routine. Maria ne s’en plaignait pas. Du moment que grand-mère jouer avec elle, tout lui convenait. À 7 ans, on n'est pas bien difficile.
À force ses « parents » n’en étaient plus. À croire qu’ils étaient devenu des étrangers. Voilà ce que se manque cruel d’affection, de leur part a fait dans leurs relations. Cependant, ils s’en moquaient bien. Leur vie active avant tous. La « vieille » pouvait bien gérer la gosse, selon sa mère. Quoique ses parents soient indignes, Maria s’en moquait également. L’affection elle la recevait de mamie; qui comblait sans problème ce manque.

À l’école la petite n’était pas mauvaise, loin de là. Elle avait hérité de l’intelligence de sa mère, dans un certain sens. Mais, car il en faut un, toujours trop distraite et rêveuse elle ne suivait qu’à moitié les cours, ne remplissait qu’à moitié ses interrogations. Cela faisait malheureusement d’elle une élève moyenne. Aussi, on se moquait souvent de cet aspect exubérant de sa personnalité. Les blagues mesquines sur son « idiotie » du fait qu’elle soit blonde fusaient. D’une certaine manière cela attriste la pauvre enfant. En quoi sa couleur de cheveux jouer sur son caractère maladroit? C’était la question qu’elle se posait sans cesse, quand les larmes imprégnaient son oreiller. Bien évidemment, ce ne fut pas son père ou sa mère qui vint la consoler. Non, encore une fois s’était Mamie. Elle expliqua à sa petite fille qu’il y avait des tas d'idiots dans ce monde. Et contre eux, le seul moyen de les vaincre était de sourire. Oui, garder le sourire à toute épreuve et de rester soi-même. À partir de ce jour la petite-fille de 12 ans garda ce sourire d’ingénue. Les taquineries ne s’arrêtèrent pas pour autant, mais la petite s’en moquait bien elle était « forte«, désormais.

À son poignet droit briller un petit bracelet en or. Un cadeau offert par Mamie pou scellait une promesse. Celle de ne plus jamais pleurer pour des personnes qui n’en valent pas la peine. La petite tenue tant bien que mal cette promesse.
Un jour, sa grand-mère mourut. Maria avait alors 15 ans. Ce fut un choc, un bouleversement. Une partie d’elle était brisée. C’était douloureux. Maintenant; la jeune fille n’avait plus personne sur qui compter. Elle n’avait pas vraiment d’amie. Qui voulait donc se liait avec une fille qui traînait avec sa grand-mère! La jeune fille pleura. Mais elle garda la face devant les autres. Sa grand-mère aurait voulu que sa petite fille reste la même. Souriante et joyeuse. Pour elle, Maria fit un effort.

Mais un jour, cette jeune fille perdu pour la première fois patience. En effet lors de la rentrée, un garçon ne pu s’empêcher de dire «  Et ça fait quoi de plus avoir sa mamie derrière soi ?» . Une onde de choc parcouru la jeune fille. Elle si positive; détendue et sereine perdue, tout contrôle d’elle-même. Elle se rua sur le garçon et le mit au sol. L’herbe fraîche de la terre semblait et répondre. Etonnée tous deux ils se turent. Puis il cria un « sorcière! ». Une sensation étrange avait envahi la jeune fille. Maria avait toujours ressenti une attraction particulière entre-elle est la nature, mais là.

À l'aube de ses 16-ans un homme apparut. Il lui expliqua qu’elle devait aller à Emagir « en haut ». Là-bas elle maitriserait cet étrange pouvoir parmi d’autres sorciers. La jeune fille n’avait rien à perdre, son école et sa faille ne lui manqueraient pas. La demoiselle avait tout à gagner. Elle le suivit.
Une nouvelle vie s’offre à elle. Maintenant, il ne lui reste plus qu’à poser les pieds dans cette école. Le reste c’est à vous de l’écrire en sa présence.~